Le 09/06/2015
Pour les Inrocks, Drones de Muse est "moche et con à souhait"
"Lettre d'amour aux fans de Muse".
Si pour l'auteur, "Drones est moins ridicule que prévu", il n'en reste pas moins "quand même moche et con à souhait, mais on s’attendait vraiment à pire suite à l’indigeste premier morceau dévoilé (Psycho, qui avait donné lieu à une riche discussion entre nous), et surtout après ce monument de grandiloquence pour divas prépubères, cette messe pseudo-cosmique surfant sur la mode FM du dubstep, ce tombeau du rock que fut The 2nd Law en septembre 2012."
Pour les Inrocks, les prétentions de Muse restent risibles et ridicules, Matt Bellamy est" toujours la starlette d’opéra (ou la star d’opérette, c’est selon) qu’il est devenu avec le temps" et à la guitare, il est toujours " le même copiste appliqué (AC/DC sur Reapers, Rage Against The Machine sur Defector, Queen sur Revolt…) ; mais au détour d’un couplet, d’un bridge ou d’un refrain, on retrouve quelques-unes des raisons qui nous avaient poussés à aimer Muse à leurs débuts." En gros, les Inrocks regrettent le Muse plus simple de ses débuts.
Ce clash avec les fans est de bonne guerre. Loin de se laisser marcher sur les pieds, ils se sont amusés à partager des faux tweets de la rédac encensant le nouvel album.


C'est la guerre depuis plusieurs années entre les fans de Muse et les Inrockuptibles. Le magazine (et son site) n'hésite pas à taper sur le trio dès que l'occasion se présente. A croire que les Inrocks sont vraiment allergiques à la voix de Matthew Bellamy et au caractère épique des compos de Muse. Une fois de plus, la rédaction ne manque pas de tacler le groupe à l'occasion de la sortie de Drones avec un article ironiquement intitulé Si pour l'auteur, "Drones est moins ridicule que prévu", il n'en reste pas moins "quand même moche et con à souhait, mais on s’attendait vraiment à pire suite à l’indigeste premier morceau dévoilé (Psycho, qui avait donné lieu à une riche discussion entre nous), et surtout après ce monument de grandiloquence pour divas prépubères, cette messe pseudo-cosmique surfant sur la mode FM du dubstep, ce tombeau du rock que fut The 2nd Law en septembre 2012."
Pour les Inrocks, les prétentions de Muse restent risibles et ridicules, Matt Bellamy est" toujours la starlette d’opéra (ou la star d’opérette, c’est selon) qu’il est devenu avec le temps" et à la guitare, il est toujours " le même copiste appliqué (AC/DC sur Reapers, Rage Against The Machine sur Defector, Queen sur Revolt…) ; mais au détour d’un couplet, d’un bridge ou d’un refrain, on retrouve quelques-unes des raisons qui nous avaient poussés à aimer Muse à leurs débuts." En gros, les Inrocks regrettent le Muse plus simple de ses débuts.
Ce clash avec les fans est de bonne guerre. Loin de se laisser marcher sur les pieds, ils se sont amusés à partager des faux tweets de la rédac encensant le nouvel album.



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